AileNoire - Vent d'Argent le SuprĂȘme (V.2 - Ultimate Rare) Stardust Overdrive - Blackwing - Silverwind the Ascendant (V.2 - Ultimate Rare ) - Cartes. Signaler un problĂšme. Info. Graphique; Commentaires; RaretĂ© Nombre 041 EditĂ© dans. Stardust Overdrive. RĂ©impressions LC5D DP11 SOVR Montrer les offres / Montrer les Ă©ditions Articles disponibles 119 De 2,49 € Tendance

Empal’Korne Attaque Zone de Combat,Émeraude, CatĂ©gorie Palace de Combat Attaque Attaque 032, GĂ©nĂ©ration 1 Type Normal Attaque physique Puissance ∞ PrĂ©cision 30% 5 PP PrioritĂ© 0 default Target –> Selected PokĂ©mon Or, Argent et Cristal A one-hit KO, drill attack. Rubis, Saphir et Émeraude A one-hit KO attack that uses a horn like a drill. Rouge Feu et Vert Feuille The horn is rotated like a drill to ram. The foe will faint if it hits. Diamant et Perle Un coup de corne qui empale l’ennemi en tournant comme une mettre sur le coup. Platine Un coup de corne en vrille qui empale l’ennemi, le mettant le coup s’il est touchĂ©. Or HeartGold et Argent SoulSilver Un coup de corne en vrille qui empale l’ennemi, le mettant le coup s’il est touchĂ©. Noir et Blanc Un coup de corne en vrille qui empale l’ennemi, le mettant le coup s’il est touchĂ©. Noir 2 et Blanc 2 Un coup de corne en vrille qui empale l'ennemi, le mettant le coup s'il est touchĂ©. X et Y Un coup de corne en vrille qui empale l’ennemi, le mettant le coup s’il est touchĂ©. Rubis OmĂ©ga et Saphir Alpha Un coup de corne en vrille qui empale l’ennemi, le mettant le coup s’il est touchĂ©. GĂ©n. VII Un coup de corne en vrille qui empale l’ennemi, le mettant le coup s’il est touchĂ©. Concours PokĂ©mon Live [/α] Condition Charme 2 Blocage 1 Super Concours PokĂ©mon ConditionGĂ©n. III-IV Charme — Fait gagner +15 si les PokĂ©mon choisissent tous le mĂȘme Juge. Concours PokĂ©mon ConditionGĂ©n. III-IV Charme 2 Blocage 1 Effraie beaucoup tous les POKĂ©MON qui ont plu. GĂ©n. III-IV Combos Concours PokĂ©mon Koud’Korne Empal’Korne CT / CS CT07 Rouge et Bleu, Jaune. PokĂ©mon Empal’Korne By leveling up 032 Nidoran♂, 033 Nidorino, 111 Rhinocorne, 112 RhinofĂ©ros, 118 PoissirĂšne, 119 Poissoroy, 464 Rhinastoc, 530 Minotaupe, 696 Ptyranidur, 697 Rexillius By breeding 077 Ponyta, 086 Otaria, 131 Lokhlass By TM/HM 030 Nidorina, 031 Nidoqueen, 032 Nidoran♂, 033 Nidorino, 034 Nidoking, 077 Ponyta, 078 Galopa, 086 Otaria, 087 Lamantine, 111 Rhinocorne, 112 RhinofĂ©ros, 118 PoissirĂšne, 119 Poissoroy, 128 Tauros, 131 Lokhlass, 139 Amonistar, 148 Draco, 149 Dracolosse, 151 Mew Horn Drill Perforcorno Empal’Korne Hornbohrer Perforador Attaques Liste 🔗 veekun

AileNoire - Vent d'Argent le SuprĂȘme. chiltep en possĂšde 3 Carte de RĂ©fĂ©rence . Ref. Edition RaretĂ© Langue État Valeur QtĂ© Echange Vente; LC5D-FR134: Collection LĂ©gendaire 5D's MĂ©ga Pack: SR: FRA: JouĂ©e? 2: non: non: SOVR-FR041: Pouvoir de la PoussiĂšre d'Etoile: UT: FRA: Neuve? 1: non: non: Cote Arpenteurs : 9.00 €-- 37 arpenteurs recherchent cette carte * * Connectez
Le vent frivolant Canada - Ecoutez la musique Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Lecture mp3 Votre navigateur ne supporte pas la balise AUDIO. Vive les chansons de notre enfance DerriĂšr' chez nous y'a un Ă©tang, C'est l'vent, c'est l'vent frivolant Trois beaux canards vont s'y baignant, Refrain C'est l'vent qui vo-le qui fri-vo-le, C'est l'vent frivolant C'est l'vent c'est l'vent frivo-o-lant ! Le fils du roi s'en va chassant C'est l'vent, c'est l'vent frivolant Il a tuĂ© mon canard blanc Visa le noir tua le blanc C'est l'vent, c'est l'vent frivolant Oh fils du roi tu es mĂ©chant Tu as tuĂ© mon canard blanc C'est l'vent, c'est l'vent frivolant Par dessus l'aile il perd son sang Par les yeux lui sort' des diamants C'est l'vent, c'est l'vent frivolant Et par le bec l'or et l'argent Que ferons-nous de tant d'argent ? Nous mettrons les fill's au couvent Et les garçons eu rĂ©giment Cette chanson existe sur les CD suivants Vive les chansons de notre enfance .. . 1Syntoniseur 'Aile Noire' + 2 monstres non-Syntoniseur ou plus - Lorsque cette carte est InvoquĂ©e par Synchronisation : vous pouvez cibler max. 2 monstres face recto sur le Terrain avec une DEF infĂ©rieure Ă  l'ATK de cette carte ; dĂ©truisez les cibles. Vous ne pouvez pas mener votre Battle Phase le tour oĂč vous activez cet effet. Durant chacun des tours de votre adversaire, le premier

Dans ce guide, vous trouverez la liste de toutes les montures volantes et terrestres disponibles dans Mists of Pandaria MoP et comment les obtenir grĂące Ă  la rĂ©alisation des haut-faits, Ă  la rĂ©putation obtenue dans les factions du jeu ou en loots divers au patch Tous les Montures de World of Warcraft Les RĂȘnes de Serpent-nuage Les trois montures suivantes nĂ©cessitent d’ĂȘtre ExaltĂ© avec l’Ordre du Serpent-nuage RĂȘnes de Serpent-nuage Azur RĂȘnes de Serpent-nuage dorĂ© RĂȘnes de Serpent-nuage de Jade RĂȘnes de Serpent-nuage vĂ©nĂ©rable fulminant nĂ©cessitent d’ĂȘtre ExaltĂ© avec Les Astres vĂ©nĂ©rables et coĂ»tent 3000 Po. RĂȘnes de Serpent-nuage de Jade fulminant est achetable auprĂšs du vendeur de guilde une fois terminĂ© tout le contenu du set T14. RĂȘnes de Serpent-nuage Cramoisi est donnĂ© en rĂ©compense aprĂšs avoir complĂ©tĂ© Gloire aux hĂ©ros de Pandarie. RĂȘnes de Serpent-nuage cĂ©leste Cramoisi est donnĂ© en rĂ©compense de Gloire Ă  l’écumeur de raids de Pandarie qui demande de terminer tous les raids de Pandarie. RĂȘnes de Serpent-nuage Astral, dans le style de Algalon/Elegon, est contenu dans un Cache d’énergie pure qui est un butin de zone aux Caveaux de Mogu’shan. RĂȘnes de Serpent-nuage cĂ©leste Onyx est un loot sur le Worldboss Sha de la colĂšre. RĂȘnes de Serpent-nuage Onyx en rĂ©compense de la quĂȘte Attaque surprise ! Une fois ExaltĂ© avec Les Astres vĂ©nĂ©rables. RĂȘnes de Serpent-nuage de rubis fulminant est un drop sur le Rare Alani dans le Val du printempps Ă©ternel. Avant de l’engager, vous devez rĂ©cupĂ©rer 10 Eclat cĂ©leste sur les mobs de la rĂ©gion et les fusionner en un Cristal cĂ©leste afin de supprimer le Voile de Nimbus d’Alani. Ces Serpents-nuage sont aussi de la partie RĂȘnes de Serpent-nuage cĂ©leste Azur RĂȘnes de Serpent-nuage cĂ©leste de Jade RĂȘnes de Serpent-nuage cĂ©leste dorĂ© Les RĂȘnes de Tortues-Dragon La Tortue-dragon est la monture des pandarens. Alliance et Horde peuvent obtenir ces montures. Niveau 20 Niveau 40 RĂȘnes de Tortue Dragon vert RĂȘnes de grande Tortue Dragon noir RĂȘnes de Tortue Dragon noir RĂȘnes de grande Tortue Dragon violet RĂȘnes de Tortue Dragon Bleu RĂȘnes de grande Tortue Dragon vert RĂȘnes de Tortue Dragon brun RĂȘnes de grande Tortue Dragon Bleu RĂȘnes de Tortue Dragon violet RĂȘnes de grande Tortue Dragon brun RĂȘnes de Tortue Dragon rouge RĂȘnes de grande Tortue Dragon rouge Les RĂȘnes de Grues de monte Trois Grues de monte sont disponibles une fois ExaltĂ© avec le Lotus DorĂ© pour 3000 Po. RĂȘnes de grue de monte azur RĂȘnes de grue de monte dorĂ© RĂȘnes de grue de monte Rega Trois autres couleurs peuvent ĂȘtre proposĂ©es RĂȘnes de Grue de monte de la jungle RĂȘnes de Grue de monte albinos RĂȘnes de Grue de monte cramoisie Les RĂȘnes de Yacks de monte Les RĂȘnes de Yack de la Grande ExpĂ©dition sont la version MoP des RĂȘnes de Mammouth de voyage de la Toundra. Il en coutera 30 000 Po Ă  Oncle Poche profonde au Sommet Kun-Lai. Il vous propose aussi les RĂȘnes de yack de mont Blond et des RĂȘnes de yack de monte gris. D’autres coloris sont disponibles RĂȘnes de yack de monte blanc RĂȘnes de yack de monte noir RĂȘnes de yack de monte brun Le RĂȘnes de Trotteur aquatique Une monture originale qui est aquatique et peut courir sur l’eau – les RĂȘnes de trotteur aquatique Azur nĂ©cessitent d’ĂȘtre ExaltĂ© avec les Hameçonneurs et coutent 5 000 Po. Redemption Le Quilien impĂ©rial est obtenu en Ă©change d’un code obtenu avec l’édition deluxe de Mist of pandaria. CƓur de l’aile-de-nuit est obtenu si vous recrutez un ami qui ne joue plus depuis longtemps pour le faire revenir dans le jeu. Divers Ces cerf-volants sont les mĂȘmes modĂšles que ceux qui servent de transport en Pandarie. La Ficelle de cerf-volant pandaren est obtenue en rĂ©compense pour le haut-fait, Ambassadeur des Pandarens, qui rĂ©clament d’ĂȘtre ExaltĂ© avec toutes les factions de Pandarie. La Selle du fils de Galion a une chance de se trouver dans un Sac d’or brillant de maraudeur, un loot perso du Worldboss Galion. Les RĂȘnes de Scorpion d’ambre nĂ©cessitent d’ĂȘtre ExaltĂ© avec les Klaxxi. Les RĂȘnes de Tigres de monte Ces trois tigres de monte coutent 3000 Po et nĂ©cessitent d’ĂȘtre ExaltĂ© avec la faction des Pandashan. RĂȘnes de tigre de monte pandashan vert RĂȘnes de tigre de monte pandashan rouge RĂȘnes de tigre de monte pandashan bleu Les PanthĂšres des joailliers Le mĂ©tier de joaillier permet de crĂ©er de belles montures terrestres La PanthĂšre d’onyx ornĂ©e de joyaux est obtenue en combinant – une panthĂšre de saphir, une panthĂšre de jade, une panthĂšre de rubis et une panthĂšre en hĂ©liolithe. Les fusĂ©es d’ingĂ©nieurs Chaque spĂ©cialitĂ© du mĂ©tier d’ingĂ©nieur permettra de fabriquer une fusĂ©e semblable Ă  celles de Cataclysm un File-monde gĂ©osynchrone un FusĂ©e au kyparium appauvri Les RĂȘnes de Phoenix Pandaren On peut l’obtenir avec, DĂ©fi relevĂ© argent, qui est un haut-fait nĂ©cessitant de terminer tous les mode dĂ©fi des donjons avec une mĂ©daille d’argent ou supĂ©rieur, ainsi vous serez rĂ©compensĂ© avec un Oeuf de phoenix ancestral qui pourra ĂȘtre Ă©changĂ© avec RĂȘnes de phĂ©nix pandaren cramoisi RĂȘnes de phĂ©nix pandaren cendrĂ© RĂȘnes de phĂ©nix pandaren Ă©meraude RĂȘnes de phĂ©nix pandaren pourpre Les RĂȘnes de ChĂšvres de monte Les chĂšvres de monte nĂ©cessitent d’ĂȘtre ExaltĂ© avec les Laboureurs RĂȘnes de brun chĂšvre de monte, 500 Po RĂȘnes de noir chĂšvre de monte, 1,500 Po RĂȘnes de blanc chĂšvre de monte, 3,250 Po Les Disques volants Le Disque de nuage rouge est donnĂ© en rĂ©compense une fois ExaltĂ© avec les Chroniqueurs Merci Ă  Wowhead pour les images et la base de donnĂ©es.

Listedes sorts (DnD 3.5) V2.0.0. J'offre mes bases de données D&D 3.5 à tout ceux qui pourraient en avoir l'utilité. Télécharger.
Home > Yu-Gi-Oh > Cartes Ă  l'unitĂ© en Français > Collection LĂ©gendaire > Collection LĂ©gendaire 5DS Mega Pack LC5D > Aile Noire - Vent d'Argent le SuprĂȘme Reference LC5D-FR134 Quantity 0 Aile Noire - Vent d'Argent le SuprĂȘme - Super Rare 0 available Out of stock 3,75 € Add to wishlistDescription 1 Syntoniseur "Aile Noire" + 2 monstres non-Syntoniseur ou plusLorsque cette carte est InvoquĂ©e par Synchronisation vous pouvez cibler max. 2 monstres face recto sur le Terrain avec une DEF infĂ©rieure Ă  l'ATK de cette carte ; dĂ©truisez les cibles. Vous ne pouvez pas mener votre Battle Phase le tour oĂč vous activez cet effet. Durant chacun des tours de votre adversaire, le premier monstre "Aile Noire" que vous contrĂŽlez qui va ĂȘtre dĂ©truit au combat n'est pas dĂ©truit. FeaturesType de carte Yu-Gi-Oh Monstre SynchroType de monstre Yu-Gi-Oh BĂȘte AilĂ©eNiveau Yu-Gi-Oh 8Attribut Yu-Gi-Oh TĂ©nĂšbresATK 2800DEF 2000PrintComments 0 Aile Noire - Vent d'Argent le SuprĂȘme No ratingsNo customer comments for the a commentRatingYour nameTitleCommentCustomers who bought Aile Noire - Vent d'Argent le SuprĂȘme also bought... GardichĂȘne Sylvan MP14-FR200 0,21 € Available Add to cart Flash PoussiĂšre d'Étoile LC05-FR003 2,08 € Available Add to cart Pioche MusclĂ©e NECH-FR057 1,67 € Available Add to cart Guerrier de RuĂ©e SDSE-FR002 0,83 € Available Add to cart Neutron Genex SDSE-FR019 0,21 € Available Add to cart
JusteWar rock par Hiro8890 le [25/06/2022] Ă  10:31 ‱ Rulling Dragon Immortel par jeune fou le [22/06/2022] Ă  18:27. Autres Jeux. Le magazine des JCC MAGIC, WOW, WAKFU www.lotusnoir.info. Retour Ă  sa Collection. Aile Noire - Vent d'Argent le SuprĂȘme. julien2909 en possĂšde 1 Carte de RĂ©fĂ©rence . Ref. Edition RaretĂ© Langue État Valeur QtĂ© Echange Vente; Mets-toi sur ton sĂ©ant, lĂšve tes yeux, dĂ©range Ce drap glacĂ© qui fait des plis sur ton front d'ange, Ouvre tes mains, et prends ce livre il est Ă  toi. Ce livre oĂč vit mon Ăąme, espoir, deuil, rĂȘve, effroi, Ce livre qui contient le spectre de ma vie, Mes angoisses, mon aube, hĂ©las ! de pleurs suivie, L'ombre et son ouragan, la rose et son pistil, Ce livre azurĂ©, triste, orageux, d'oĂč sort-il ? D'oĂč sort le blĂȘme Ă©clair qui dĂ©chire la brume ? Depuis quatre ans, j'habite un tourbillon d'Ă©cume ; Ce livre en a jailli. Dieu dictait, j'Ă©crivais ; Car je suis paille au vent. Va ! dit l'esprit. Je vais. Et, quand j'eus terminĂ© ces pages, quand ce livre Se mit Ă  palpiter, Ă  respirer, Ă  vivre, Une Ă©glise des champs, que le lierre verdit, Dont la tour sonne l'heure Ă  mon nĂ©ant, m'a dit Ton cantique est fini ; donne-le-moi, poĂ«te. - Je le rĂ©clame, a dit la forĂȘt inquiĂšte ; Et le doux prĂ© fleuri m'a dit - Donne-le-moi. La mer, en le voyant frĂ©mir, m'a dit - Pourquoi Ne pas me le jeter, puisque c'est une voile ! - C'est Ă  moi qu'appartient cet hymne, a dit l'Ă©toile. - Donne-le-nous, songeur, ont criĂ© les grands vents. Et les oiseaux m'ont dit - Vas-tu pas aux vivants Offrir ce livre, Ă©clos si loin de leurs querelles ? Laisse-nous l'emporter dans nos nids sur nos ailes ! - Mais le vent n'aura point mon livre, ĂŽ cieux profonds ! Ni la sauvage mer, livrĂ©e aux noirs typhons, Ouvrant et refermant ses flots, Ăąpres embĂ»ches ; Ni la verte forĂȘt qu'emplit un bruit de ruches ; Ni l'Ă©glise oĂč le temps fait tourner son compas ; Le prĂ© ne l'aura pas, l'astre ne l'aura pas, L'oiseau ne l'aura pas, qu'il soit aigle ou colombe, Les nids ne l'auront pas ; je le donne Ă  la tombe. II Autrefois, quand septembre en larmes revenait, Je partais, je quittais tout ce qui me connaĂźt, Je m'Ă©vadais ; Paris s'effaçait ; rien, personne ! J'allais, je n'Ă©tais plus qu'une ombre qui frissonne, Je fuyais, seul, sans voir, sans penser, sans parler, Sachant bien que j'irais oĂč je devais aller ; HĂ©las ! je n'aurais pu mĂȘme dire Je souffre ! Et, comme subissant l'attraction d'un gouffre, Que le chemin fĂ»t beau, pluvieux, froid, mauvais, J'ignorais, je marchais devant moi, j'arrivais. Ô souvenirs ! ĂŽ forme horrible des collines ! Et, pendant que la mĂšre et la soeur, orphelines, Pleuraient dans la maison, je cherchais le lieu noir Avec l'aviditĂ© morne du dĂ©sespoir ; Puis j'allais au champ triste Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise ; TĂȘte nue, Ă  pas lents, les cheveux dans la bise, L'oeil aux cieux, j'approchais ; l'accablement soutient ; Les arbres murmuraient C'est le pĂšre qui vient ! Les ronces Ă©cartaient leurs branches dessĂ©chĂ©es ; Je marchais Ă  travers les humbles croix penchĂ©es, Disant je ne sais quels doux et funĂšbres mots ; Et je m'agenouillais au milieu des rameaux Sur la pierre qu'on voit blanche dans la verdure. Pourquoi donc dormais-tu d'une façon si dure Que tu n'entendais pas lorsque je t'appelais ? Et les pĂȘcheurs passaient en traĂźnant leurs filets, Et disaient Qu'est-ce donc que cet homme qui songe ? Et le jour, et le soir, et l'ombre qui s'allonge, Et VĂ©nus, qui pour moi jadis Ă©tincela, Tout avait disparu que j'Ă©tais encor lĂ . J'Ă©tais lĂ , suppliant celui qui nous exauce ; J'adorais, je laissais tomber sur cette fosse, HĂ©las ! oĂč j'avais vu s'Ă©vanouir mes cieux, Tout mon coeur goutte Ă  goutte en pleurs silencieux ; J'effeuillais de la sauge et de la clĂ©matite ; Je me la rappelais quand elle Ă©tait petite, Quand elle m'apportait des lys et des jasmins, Ou quand elle prenait ma plume dans ses mains, Gaie, et riant d'avoir de l'encre Ă  ses doigts roses ; Je respirais les fleurs sur cette cendre Ă©closes, Je fixais mon regard sur ces froids gazons verts, Et par moments, ĂŽ Dieu, je voyais, Ă  travers La pierre du tombeau, comme une lueur d'Ăąme ! Oui, jadis, quand cette heure en deuil qui me rĂ©clame Tintait dans le ciel triste et dans mon coeur saignant, Rien ne me retenait, et j'allais ; maintenant, HĂ©las !... - Ô fleuve ! ĂŽ bois ! vallons dont je fus l'hĂŽte, Elle sait, n'est-ce pas ? que ce n'est pas ma faute Si, depuis ces quatre ans, pauvre coeur sans flambeau, Je ne suis pas allĂ© prier sur son tombeau ! III Ainsi, ce noir chemin que je faisais, ce marbre Que je contemplais, pĂąle, adossĂ© contre un arbre, Ce tombeau sur lequel mes pieds pouvaient marcher, La nuit, que je voyais lentement approcher, Ces ifs, ce crĂ©puscule avec ce cimetiĂšre, Ces sanglots, qui du moins tombaient sur cette pierre, Ô mon Dieu, tout cela, c'Ă©tait donc du bonheur ! Dis, qu'as-tu fait pendant tout ce temps-lĂ  ? - Seigneur, Qu'a-t-elle fait ? - Vois-tu la vie en vos demeures ? A quelle horloge d'ombre as-tu comptĂ© les heures ? As-tu sans bruit parfois poussĂ© l'autre endormi ? Et t'es-tu, m'attendant, rĂ©veillĂ©e Ă  demi ? T'es-tu, pĂąle, accoudĂ©e Ă  l'obscure fenĂȘtre De l'infini, cherchant dans l'ombre Ă  reconnaĂźtre Un passant, Ă  travers le noir cercueil mal joint, Attentive, Ă©coutant si tu n'entendais point Quelqu'un marcher vers toi dans l'Ă©ternitĂ© sombre ? Et t'es-tu recouchĂ©e ainsi qu'un mĂąt qui sombre, En disant Qu'est-ce donc ? mon pĂšre ne vient pas ! Avez-vous tous les deux parlĂ© de moi tout bas ? Que de fois j'ai choisi, tout mouillĂ©s de rosĂ©e, Des lys dans mon jardin, des lys dans ma pensĂ©e ! Que de fois j'ai cueilli de l'aubĂ©pine en fleur ! Que de fois j'ai, lĂ -bas, cherchĂ© la tour d'Harfleur, Murmurant C'est demain que je pars ! et, stupide, Je calculais le vent et la voile rapide, Puis ma main s'ouvrait triste, et je disais Tout fuit ! Et le bouquet tombait, sinistre, dans la nuit ! Oh ! que de fois, sentant qu'elle devait m'attendre, J'ai pris ce que j'avais dans le coeur de plus tendre Pour en charger quelqu'un qui passerait par lĂ  ! Lazare ouvrit les yeux quand JĂ©sus l'appela ; Quand je lui parle, hĂ©las ! pourquoi les ferme-t-elle ? OĂč serait donc le mal quand de l'ombre mortelle L'amour violerait deux fois le noir secret, Et quand, ce qu'un dieu fit, un pĂšre le ferait ? IV Que ce livre, du moins, obscur message, arrive, Murmure, Ă  ce silence, et, flot, Ă  cette rive ! Qu'il y tombe, sanglot, soupir, larme d'amour ! Qu'il entre en ce sĂ©pulcre oĂč sont entrĂ©s un jour Le baiser, la jeunesse, et l'aube, et la rosĂ©e, Et le rire adorĂ© de la fraĂźche Ă©pousĂ©e, Et la joie, et mon coeur, qui n'est pas ressorti ! Qu'il soit le cri d'espoir qui n'a jamais menti, Le chant du deuil, la voix du pĂąle adieu qui pleure, Le rĂȘve dont on sent l'aile qui nous effleure ! Qu'elle dise Quelqu'un est lĂ  ; j'entends du bruit ! Qu'il soit comme le pas de mon Ăąme en sa nuit ! Ce livre, lĂ©gion tournoyante et sans nombre D'oiseaux blancs dans l'aurore et d'oiseaux noirs dans l'ombre, Ce vol de souvenirs fuyant Ă  l'horizon, Cet essaim que je lĂąche au seuil de ma prison, Je vous le confie, air, souffles, nuĂ©e, espace ! Que ce fauve ocĂ©an qui me parle Ă  voix basse, Lui soit clĂ©ment, l'Ă©pargne et le laisse passer ! Et que le vent ait soin de n'en rien disperser, Et jusqu'au froid caveau fidĂšlement apporte Ce don mystĂ©rieux de l'absent Ă  la morte ! Ô Dieu ! puisqu'en effet, dans ces sombres feuillets, Dans ces strophes qu'au fond de vos cieux je cueillais, Dans ces chants murmurĂ©s comme un Ă©pithalame Pendant que vous tourniez les pages de mon Ăąme, Puisque j'ai, dans ce livre, enregistrĂ© mes jours, Mes maux, mes deuils, mes cris dans les problĂšmes sourds, Mes amours, mes travaux, ma vie heure par heure ; Puisque vous ne voulez pas encor que je meure, Et qu'il faut bien pourtant que j'aille lui parler ; Puisque je sens le vent de l'infini souffler Sur ce livre qu'emplit l'orage et le mystĂšre ; Puisque j'ai versĂ© lĂ  toutes vos ombres, terre, HumanitĂ©, douleur, dont je suis le passant ; Puisque de mon esprit, de mon coeur, de mon sang, J'ai fait l'Ăącre parfum de ces versets funĂšbres, Va-t'en, livre, Ă  l'azur, Ă  travers les tĂ©nĂšbres ! Fuis vers la brume oĂč tout Ă  pas lents est conduit ! Oui, qu'il vole Ă  la fosse, Ă  la tombe, Ă  la nuit, Comme une feuille d'arbre ou comme une Ăąme d'homme ! Qu'il roule au gouffre oĂč va tout ce que la voix nomme ! Qu'il tombe au plus profond du sĂ©pulcre hagard, A cĂŽtĂ© d'elle, ĂŽ mort ! et que lĂ , le regard, PrĂšs de l'ange qui dort, lumineux et sublime, Le voie Ă©panoui, sombre fleur de l'abĂźme ! V Ô doux commencements d'azur qui me trompiez, Ô bonheurs ! je vous ai durement expiĂ©s ! J'ai le droit aujourd'hui d'ĂȘtre, quand la nuit tombe, Un de ceux qui se font Ă©couter de la tombe, Et qui font, en parlant aux morts blĂȘmes et seuls, Remuer lentement les plis noirs des linceuls, Et dont la parole, Ăąpre ou tendre, Ă©meut les pierres, Les grains dans les sillons, les ombres dans les biĂšres, La vague et la nuĂ©e, et devient une voix De la nature, ainsi que la rumeur des bois. Car voilĂ , n'est-ce pas, tombeaux ? bien des annĂ©es, Que je marche au milieu des croix infortunĂ©es, ÉchevelĂ© parmi les ifs et les cyprĂšs, L'Ăąme au bord de la nuit, et m'approchant tout prĂšs, Et que je vais, courbĂ© sur le cercueil austĂšre, Questionnant le plomb, les clous, le ver de terre Qui pour moi sort des yeux de la tĂȘte de mort, Le squelette qui rit, le squelette qui mord, Les mains aux doigts noueux, les crĂąnes, les poussiĂšres, Et les os des genoux qui savent des priĂšres ! HĂ©las ! j'ai fouillĂ© tout. J'ai voulu voir le fond. Pourquoi le mal en nous avec le bien se fond, J'ai voulu le savoir. J'ai dit Que faut-il croire ? J'ai creusĂ© la lumiĂšre, et l'aurore, et la gloire, L'enfant joyeux, la vierge et sa chaste frayeur, Et l'amour, et la vie, et l'Ăąme, - fossoyeur. Qu'ai-je appris ? J'ai, pensif , tout saisi sans rien prendre ; J'ai vu beaucoup de nuit et fait beaucoup de cendre. Qui sommes-nous ? que veut dire ce mot Toujours ? J'ai tout enseveli, songes, espoirs, amours, Dans la fosse que j'ai creusĂ©e en ma poitrine. Qui donc a la science ? oĂč donc est la doctrine ? Oh ! que ne suis-je encor le rĂȘveur d'autrefois, Qui s'Ă©garait dans l'herbe, et les prĂ©s, et les bois, Qui marchait souriant, le soir, quand le ciel brille, Tenant la main petite et blanche de sa fille, Et qui, joyeux, laissant luire le firmament, Laissant l'enfant parler, se sentait lentement Emplir de cet azur et de cette innocence ! Entre Dieu qui flamboie et l'ange qui l'encense, J'ai vĂ©cu, j'ai luttĂ©, sans crainte, sans remord. Puis ma porte soudain s'ouvrit devant la mort, Cette visite brusque et terrible de l'ombre. Tu passes en laissant le vide et le dĂ©combre, Ô spectre ! tu saisis mon ange et tu frappas. Un tombeau fut dĂšs lors le but de tous mes pas. VI Je ne puis plus reprendre aujourd'hui dans la plaine Mon sentier d'autrefois qui descend vers la Seine ; Je ne puis plus aller oĂč j'allais ; je ne puis, Pareil Ă  la laveuse assise au bord du puits, Que m'accouder au mur de l'Ă©ternel abĂźme ; Paris m'est Ă©clipsĂ© par l'Ă©norme Solime ; La haute Notre-Dame Ă  prĂ©sent, qui me luit, C'est l'ombre ayant deux tours, le silence et la nuit, Et laissant des clartĂ©s trouer ses fatals voiles ; Et je vois sur mon front un panthĂ©on d'Ă©toiles ; Si j'appelle Rouen, Villequier, Caudebec, Toute l'ombre me crie Horeb, CĂ©dron, Balbeck ! Et, si je pars, m'arrĂȘte Ă  la premiĂšre lieue, Et me dit Tourne-toi vers l'immensitĂ© bleue ! Et me dit Les chemins oĂč tu marchais sont clos. Penche-toi sur les nuits, sur les vents, sur les flots ! A quoi penses-tu donc ? que fais-tu, solitaire ? Crois-tu donc sous tes pieds avoir encor la terre ? OĂč vas-tu de la sorte et machinalement ? Ô songeur ! penche-toi sur l'ĂȘtre et l'Ă©lĂ©ment ! Écoute la rumeur des Ăąmes dans les ondes ! Contemple, s'il te faut de la cendre, les mondes ; Cherche au moins la poussiĂšre immense, si tu veux MĂȘler de la poussiĂšre Ă  tes sombres cheveux, Et regarde, en dehors de ton propre martyre, Le grand nĂ©ant, si c'est le nĂ©ant qui t'attire ! Sois tout Ă  ces soleils oĂč tu remonteras ! Laisse lĂ  ton vil coin de terre. Tends les bras, Ô proscrit de l'azur, vers les astres patries ! Revois-y refleurir tes aurores flĂ©tries ; Deviens le grand oeil fixe ouvert sur le grand tout. Penche-toi sur l'Ă©nigme oĂč l'ĂȘtre se dissout, Sur tout ce qui naĂźt, vit, marche, s'Ă©teint, succombe, Sur tout le genre humain et sur toute la tombe ! Mais mon coeur toujours saigne et du mĂȘme cĂŽtĂ©. C'est en vain que les cieux, les nuits, l'Ă©ternitĂ©, Veulent distraire une Ăąme et calmer un atome. Tout l'Ă©blouissement des lumiĂšres du dĂŽme M'ĂŽte-t-il une larme ? Ah ! l'Ă©tendue a beau Me parler, me montrer l'universel tombeau, Les soirs sereins, les bois rĂȘveurs, la lune amie ; J'Ă©coute, et je reviens Ă  la douce endormie. VII Des fleurs ! oh ! si j'avais des fleurs ! si Je pouvais Aller semer des lys sur ces deux froids chevets ! Si je pouvais couvrir de fleurs mon ange pĂąle ! Les fleurs sont l'or, l'azur, l'Ă©meraude, l'opale ! Le cercueil au milieu des fleurs veut se coucher ; Les fleurs aiment la mort, et Dieu les fait toucher Par leur racine aux os, par leur parfum aux Ăąmes ! Puisque je ne le puis, aux lieux que nous aimĂąmes, Puisque Dieu ne veut pas nous laisser revenir, Puisqu'il nous fait lĂącher ce qu'on croyait tenir, Puisque le froid destin, dans ma geĂŽle profonde, Sur la premiĂšre porte en scelle une seconde, Et, sur le pĂšre triste et sur l'enfant qui dort, Ferme l'exil aprĂšs avoir fermĂ© la mort, Puisqu'il est impossible Ă  prĂ©sent que je jette MĂȘme un brin de bruyĂšre Ă  sa fosse muette, C'est bien le moins qu'elle ait mon Ăąme, n'est-ce pas ? Ô vent noir dont j'entends sur mon plafond le pas ! TempĂȘte, hiver, qui bats ma vitre de ta grĂȘle ! Mers, nuits ! et je l'ai mise en ce livre pour elle ! Prends ce livre ; et dis-toi Ceci vient du vivant Que nous avons laissĂ© derriĂšre nous, rĂȘvant. Prends. Et, quoique de loin, reconnais ma voix, Ăąme ! Oh ! ta cendre est le lit de mon reste de flamme ; Ta tombe est mon espoir, ma charitĂ©, ma foi ; Ton linceul toujours flotte entre la vie et moi. Prends ce livre, et fais-en sortir un divin psaume ! Qu'entre tes vagues mains il devienne fantĂŽme ! Qu'il blanchisse, pareil Ă  l'aube qui pĂąlit, A mesure que l'oeil de mon ange le lit, Et qu'il s'Ă©vanouisse, et flotte, et disparaisse, Ainsi qu'un Ăątre obscur qu'un souffle errant caresse, Ainsi qu'une lueur qu'on voit passer le soir, Ainsi qu'un tourbillon de feu de l'encensoir, Et que, sous ton regard Ă©blouissant et sombre, Chaque page s'en aille en Ă©toiles dans l'ombre ! VIII Oh ! quoi que nous fassions et quoi que nous disions, Soit que notre Ăąme plane au vent des visions, Soit qu'elle se cramponne Ă  l'argile natale, Toujours nous arrivons Ă  ta grotte fatale, GethsĂ©mani ! qu'Ă©claire une vague lueur ! Ô rocher de l'Ă©trange et funĂšbre sueur ! Cave oĂč l'esprit combat le destin ! ouverture Sur les profonds effrois de la sombre nature ! Antre d'oĂč le lion sort rĂȘveur, en voyant Quelqu'un de plus sinistre et de plus effrayant, La douleur, entrer, pĂąle, amĂšre, Ă©chevelĂ©e ! Ô chute ! asile ! ĂŽ seuil de la trouble vallĂ©e D'oĂč nous apercevons nos ans fuyants et courts, Nos propres pas marquĂ©s dans la fange des jours, L'Ă©chelle oĂč le mal pĂšse et monte, spectre louche, L'Ăąpre frĂ©missement de la palme farouche, Les degrĂ©s noirs tirant en bas les blancs degrĂ©s, Et les frissons aux fronts des anges effarĂ©s ! Toujours nous arrivons Ă  cette solitude, Et, lĂ , nous nous taisons, sentant la plĂ©nitude ! Paix Ă  l'ombre ! Dormez ! dormez ! dormez ! dormez ! Êtres, groupes confus lentement transformĂ©s ! Dormez, les champs ! dormez, les fleurs ! dormez, les tombes ! Toits, murs, seuils des maisons, pierres des catacombes, Feuilles au fond des bois, plumes au fond des nids, Dormez ! dormez, brins d'herbe, et dormez, infinis ! Calmez-vous, forĂȘt, chĂȘne, Ă©rable, frĂȘne, yeuse ! Silence sur la grande horreur religieuse, Sur l'ocĂ©an qui lutte et qui ronge son mors, Et sur l'apaisement insondable des morts ! Paix Ă  l'obscuritĂ© muette et redoutĂ©e, Paix au doute effrayant, Ă  l'immense ombre athĂ©e, A toi, nature, cercle et centre, Ăąme et milieu, Fourmillement de tout, solitude de Dieu ! Ô gĂ©nĂ©rations aux brumeuses haleines, Reposez-vous ! pas noirs qui marchez dans les plaines ! Dormez, vous qui saignez ; dormez, vous qui pleurez ! Douleurs, douleurs, douleurs, fermez vos yeux sacrĂ©s ! Tout est religion et rien n'est imposture. Que sur toute existence et toute crĂ©ature, Vivant du souffle humain ou du souffle animal, Debout au seuil du bien, croulante au bord du mal, Tendre ou farouche, immonde ou splendide, humble ou grande, La vaste paix des cieux de toutes parts descende ! Que les enfers dormants rĂȘvent les paradis ! Assoupissez-vous, flots, mers, vents, Ăąmes, tandis Qu'assis sur la montagne en prĂ©sence de l'Être, PrĂ©cipice oĂč l'on voit pĂȘle-mĂȘle apparaĂźtre Les crĂ©ations, l'astre et l'homme, les essieux De ces chars de soleil que nous nommons les cieux, Les globes, fruits vermeils des divines ramĂ©es, Les comĂštes d'argent dans un champ noir semĂ©es, Larmes blanches du drap mortuaire des nuits, Les chaos, les hivers, ces lugubres ennuis, PĂąle, ivre d'ignorance, Ă©bloui de tĂ©nĂšbres, Voyant dans l'infini s'Ă©crire des algĂšbres, Le contemplateur, triste et meurtri, mais serein, Mesure le problĂšme aux murailles d'airain, Cherche Ă  distinguer l'aube Ă  travers les prodiges, Se penche, frĂ©missant, au puits des grands vertiges, Suit de l'oeil des blancheurs qui passent, alcyons, Et regarde, pensif, s'Ă©toiler de rayons, De clartĂ©s, de lueurs, vaguement enflammĂ©es, Le gouffre monstrueux plein d'Ă©normes fumĂ©es. Guernesey, 2 novembre 1855, jour des morts. A celle qui est restĂ©e en France PoĂšmes de Victor HugoCitations de Victor Hugo
AileNoire - Vent d'Argent le SuprĂȘme ( Blackwing - Silverwind the Ascendant ) Texte français. Texte anglais [ BĂȘte-AilĂ©e / Synchro / Effet ] 1 Syntoniseur "Aile Noire" + 2 monstres non Syntoniseurs ou plus Lorsque cette carte est InvoquĂ©e par Synchronisation, vous pouvez sĂ©lectionner et dĂ©truire jusqu'Ă  2 monstres face recto sur le Terrain avec une DEF infĂ©rieure Ă 
- Cet article contient des Ă©lĂ©ments sur le dĂ©roulement des livres rĂ©cents, qui pourraient gĂącher votre plaisir de lecture. Le lire est Ă  vos risque et pĂ©rils. - "Les dieux ne sont-ils pas, par dĂ©finition, des entitĂ©s immatĂ©rielles vivant dans un monde invisible oĂč les humains n'ont pas accĂšs ?" Wanda Ă  Mali dans Renaissance. Les Dieux sont une race immortelle. Ils sont nombreux, ont des pouvoirs et des apparences diffĂ©rentes, mais ils ont tous un ancĂȘtre commun Patris. Ils obĂ©issent tous aux Lois Divines. Les Lois Divines[] Les Dieux vont par paires[] Il existe une contre-partie Ă  chaque dieu fondateur, catalyste et crĂ©ateur Patris et Tramail, Abussos et Lessien Idril, Naalnish et Napashni... GĂ©nĂ©ralement, il y a un jumeau lumineux Lazuli et un jumeau sombre Nayati mais pas toujours Aufaniae et Aiapaec. Cette rĂšgle existe car l'univers doit ĂȘtre Ă©quilibrĂ©. Les Dieux restent dans leur univers[] Les dieux fondateurs ont signĂ© un traitĂ© leur interdisant l'accĂšs au monde de leurs pairs sauf invitation de leur part. La seule galaxie dont les frontiĂšres sont fortifiĂ©es est celle d'AchĂ©ron. Il en va de mĂȘme pour les dieux des panthĂ©ons fĂ©lins, aviaires et reptiliens qui ne peuvent pas aller sur le domaine divin d'un autre panthĂ©on car ils ne respirent pas le mĂȘme air, le seul endroit divin oĂč peuvent se rencontrer les trois panthĂ©ons est l'Agora. Les Triades[] "Trois divinitĂ©s de la mĂȘme famille devaient en tout temps gouverner le panthĂ©on sous peine de disparaĂźtre avec tout ce qu'il avait créé." Dans Renaissance. Les panthĂ©ons reptiliens, fĂ©lins et aviaires doivent obligatoirement ĂȘtre dirigĂ©s par une triade Parandar, Theandras et Akuretari ou sa fille Fan pour les reptiliens, Lycaon, Orlare et AquilĂ©e ou sa mĂšre SĂ©lĂ©na chez les falconiformes, Étanna, Solis et Ahuratar ou sa fille Rogva chez les fĂ©lins. Toutefois, cette lois n’est plus valable depuis qu’Aufaniae et Aiapaec l’ont retirĂ© Ă  la demande d’Abussos et Lessien Idril. Les Dieux Fondateurs, Patris et Tramail[] Depuis Les Chevaliers d'AntarĂšs, nous savons qu'il y a un dieu au dessus de tous les autres, reprĂ©sentĂ© par un Ɠil‚ Patris, mais au tout dĂ©but des temps, il avait la forme d'un dragon ardoisĂ©. Tramail, le dĂ©voreur de mondes, est la contre-partie de la premiĂšre Ă©tincelle divine et est reprĂ©sentĂ© sous la forme un poulpe orange gigantesque qui possĂšde des centaines de tentacules. Patris a eu vingt enfants, rĂ©unis en couple qui dirige chacun une galaxie Abussos le dieu-hippocampe et Lessien Idril la dĂ©esse-louve-ailĂ©e AchĂ©ron un dieu-rhinocĂ©ros et Viatla la dĂ©esse-hippopotame Strigilia le dieu-crabe et AĂ©quorĂ©a la dĂ©esse-mĂ©duse Equus le dieu-cheval et Elnis la dĂ©esse-biche Pakhu le dieu-Ă©lĂ©phant et Zarapha la dĂ©esse-girafe Urus le dieu-bison et Orssa la dĂ©esse-ourse Nektos le dieu-serpent et Lacerta la dĂ©esse-iguane Hellente le dieu-wapiti et Kassie la dĂ©esse-castor Isatis le dieu-renard et AĂŻna la dĂ©esse-hyĂšne Hapaxe et AtalĂ©e les premiers dieux ailĂ©s Dieux du panthĂ©on d'Abussos[] Les dieux fondateurs[] Abussos, dieu-hippocampe Lessien Idril, dĂ©esse-louve blanche ailĂ©e. Les dieux catalystes[] Lazuli Kaolin/PhĂ©nix/Lazuli, dieu-phĂ©nix Wellan, dieu ptĂ©rodactyle ou Quetzal fils de Lazuli et de Kira. Nayati Nemeroff, dieu-dragon bleu HĂ©liodore, dieu-dragon-licorne fils de Nayati et Naalnish. NashobaOnyx, dieu-loup noir. Atlance, dieu-renard blanc ailĂ© fils de Nashoba et Swan, mortel. NahĂ©lĂ©Lassa, dieu-dauphin ailĂ©. MaĂ©lys, dĂ©esse-pliosaure fille de NahĂ©lĂ© et Kira. Kylian, dieu-pliosaure fils de NahĂ©lĂ© et Kira. Napashni Swan/Napalhuaca, dĂ©esse-griffon. Ayarcoutec, dĂ©esse-serpent ailĂ© fille de Napashni et Cuzpanki. NaalnishKaliska, dĂ©esse-licorne. Agate, dĂ©esse-colibri fille de Naalnish et Fabian. HĂ©liodore, dieu-dragon-licorne fils de Naalnish et Nayati. Les dieux crĂ©ateurs[] Aufaniae, dĂ©esse-dragon dorĂ©. Aiapaec, dieu-dragon dorĂ©. Obsidia, dĂ©esse-fennec ailĂ©. PanthĂ©on reptilien[] Triade Ă  l'origine de la crĂ©ation du panthĂ©on[] Parandar, dieu-gavial mortel, dieu suprĂȘme du panthĂ©on reptilien. Theandras, dĂ©esse-gavial mortelle. Akuretari, dieu-gavial mort. Fan, dĂ©esse-gavial fille d'Akuretari et Caserte mortelle. Triade recomposĂ©e suite Ă  la mort d'Akuretari[] Parandar, dieu-gavial mortel, dieu suprĂȘme du panthĂ©on reptilien. Fan, dĂ©esse gavial mortelle. Kira, dĂ©esse thĂ©ropode fille de Fan et Amecareth. Dylan, ex-Immortel mortel fils de Fan et Wellan. Myrialuna, dĂ©esse eyra fille de Fan et Kimaati. Theandras, dĂ©esse-gavial mortelle. Jenifael, dĂ©esse gavial mortelle fille de Theandras et Wellan. Les autres dieux[] AssĂ©quir, dĂ©esse-gavial morte. Cinn, dĂ©esse-gavial morte. Abnar, ex-Immortel mort fils de Cinn et Kogal. Clodissia, dĂ©esse gavial morte. Dressad, dieu-gavial mort. Estola, dĂ©esse gavial morte. Ialonus, dieu-gavial mort. Lagentia, dĂ©esse-gavial morte. Liam, dieu-gavial mort. Natelia, dĂ©esse-gavial morte. Danalieth, Immortel mortel fils de Natelia et Neberek. Nadian, dieu-gavial mort. Rogetia, dĂ©esse-gavial morte. Sauska, dĂ©esse-gavial morte. Ivana, dĂ©esse-gavial morte. Shushe, dĂ©esse-gavial morte. Valioce, dĂ©esse-gavial morte. Vatacoalt, dieu-gavial mort. Vinbieth, dieu-gavial mort. VindĂ©mia, dĂ©esse-gavial morte. PanthĂ©on aviaire[] Triade du panthĂ©on[] Lycaon, dieu-condor mort dieu suprĂȘme des falconiformes AurĂ©lys, dĂ©esse-aigle noir mortelle fille de Lycaon et Wanda. Cyndelle, dĂ©esse-effraie mortelle fille de Lycaon et Jahonne. Fabian/Albalys, dieu-milan royal mortel fils de Lycaon et Swan Agate, dĂ©esse-colibri fille de Fabian et Kaliska AquilĂ©e, dĂ©esse-aigle royal mortelle. Orlare, dĂ©esse-harfang mortelle Triade recomposĂ©e suite Ă  la mort de Lycaon[] AquilĂ©e, dĂ©esse-aigle royal mortelle dĂ©esse suprĂȘme du panthĂ©on Orlare, dĂ©esse-harfang mortelle SĂ©lĂ©na, dĂ©esse-harpie morte Les autres dieux [] Angaro, dĂ©esse chevĂȘche morte. Azcatchi, dieu-crave mortel Jaspe, dieu-corbeau fils d'Azcatchi et Nayaztlan. Ibalba, dieu-serpentaire mort Izana, dĂ©esse-chouette morte. Leproca, dieu-autour mort. Matsa, dĂ©esse-vautour morte. MĂ©tarassou, dĂ©esse-faucon morte. Nahuat, dieu-Ă©merillon mort Ninoushi, dĂ©esse-Ă©pervier morte. Nochto, dieu-crĂ©cerelle mort Risha, dieu-hibou mort. SĂ©lĂ©na, dĂ©esse-harpie morte. Sila, dĂ©esse-buse morte. Shvara, dieu-busard mortel. Sparwari Sage, demi-dieu Ă©pervier Lazuli, dieu-gerfaut mortel fils de Sparwari et Kira. PanthĂ©on fĂ©lin[] Triade du panthĂ©on[] Étanna, dĂ©esse-jaguar morte dĂ©esse suprĂȘme du panthĂ©on Ahuratar, dieu-lion mort Rogva, dĂ©esse puma morte. Solis Zach, dieu-jaguar. CornĂ©liane, dĂ©esse-guĂ©pard fille de Solis et Swan. Kirsan, dieu-chat du dĂ©sert Ipocan fils de Solis et Alassia. Marek, dieu lĂ©opard des neiges fils de Solis et Kira. Triade du panthĂ©on recomposĂ©e suite au banissement de Solis[] Étanna, dĂ©esse-jaguar morte dĂ©esse suprĂȘme du panthĂ©on Ahuratar, dieu-lion mort Rogva, dĂ©esse puma morte. Les autres dieux [] Anyaguara, dĂ©esse-panthĂšre noire. Mahito, dieu-tigre fils d'Anyaguara et Danalieth. Nolan, dieu-tigre de feu fils de Mahito et Jenifael. Corindon, dieu-caracal mort puis ressuscitĂ©, mortel. Enderah, dĂ©esse-lynx morte. Innick, dĂ©esse-oscille morte. KalĂ©vi, dieu-ocelot mort. Myrialuna, dĂ©esse-eyra. Larissa, dĂ©esse-eyra. Lavra, dĂ©esse-eyra. LĂ©ia, dĂ©esse-eyra. Lidia, dĂ©esse-eyra. LĂ©onilla, dĂ©esse-eyra. Ludmila, dĂ©esse-eyra Sacha, dieu lion. SergueĂŻ, dieu lion. Stanislas, dieu lion. Napishti, dieu-tigre mort OuĂ©do, dieu-serval mort Skaalda, dĂ©esse-lĂ©opard morte. Somava, dĂ©esse-margay morte. Wara, dĂ©esse-chat des sables morte Dieux du panthĂ©on d'AchĂ©ron[] Les dieux fĂ©lins du panthĂ©on d'Abussos sont aussi membres du panthĂ©on d'AchĂ©ron. Les dieux fondateurs[] AchĂ©ron, dieu-rhinocĂ©ros mort. Viatla, dĂ©esse-hippopotame morte. Les dieux catalystes[] Javad, dieu-rhinocĂ©ros mort. Eanraig, dieu-rhinocĂ©ros Amecareth,dieu-scarabĂ©e mort Kira, dĂ©esse thĂ©ropode fille de Amecareth et Fan. Jahonne mortelle. Miyaji/Éliane FĂ©e AzurĂ©e. Asbeth mort. SĂ©lace mort. Mayland mort. Lektath mort. Rewain, dieu-zĂšbre. Kimaati, dieu-lion mort. Myrialuna, dĂ©esse-eyra. Les Deusalas[] Les Deusalas sont des dieux ailĂ©s, descendants d'Hapaxe et AtalĂ©e. Ils vivent dans la galaxie d'AchĂ©ron. Les dieux fondateurs[] Hapaxe et AtalĂ©e Leurs descendants[] Sappheiros, dieu-cougar ailĂ© fils du sorcier Salocin & Asarine Arnica Argus AzurĂ©e OcĂ©ani/Tayaress Oroste roi des Deusalas Avali Alaina et Avali Kiev DanĂ©a Catriona Sandjiv et HaĂ©lĂ©ra roi et reine des Deusalas MikĂ©la Lizbeth eTUVC1U. 260 23 4 193 15 277 320 345 186

aile noir vent d argent le suprĂȘme