Messages: 817. Date d'inscription : 12/09/2010. Age : 55. Ville ou région : Pleingaz sur gazon. Sujet: Piste de l'amitié (100 Kms, Juin 2011) Dim 17 Oct 2010 - 11:29. Si vous prenez la carte IGN N° 165, serie TOP 100, (verte pale) vous pouvez visualiser mon tracer que voici! a faire par temps sec, sans tétines, prevoir un casse croute.
Tout au long de notre vie nous rencontrons des personnes qui nous enseignent quelque chose qui nous permet de mettre de l’équilibre en êtres nous captivent, tandis que d’autres nous laissent indifférents. Nous éprouvons tous des attirances ou des rejets, pourquoi ? Sans doute parce que certaines personnes sont artificielles, insignifiantes ou consternantes; tandis que d’autres possèdent cette sincérité, cette simplicité, cette générosité qui nous donne l'envie de parcourir avec elles le c’est un cœur sans maquillage, elle se tisse au fil du temps, c’est un sentiment qui s’épanouit et grandit avec les saisons. L’amitié c’est une étoile qui illumine les moments les plus obscurs de notre vie, c’est une main qui se tend, une oreille qui écoute sans juger. L’amitié n’est pas variable, elle est durable, sans limites et sans c’est aussi la couleur d’une fleur qui ne se fane jamais, c’est la personne qui arrive à l’improviste et qu’on invite, spontanément, à partager ce qu’il nous reste, pour le bonheur d’être réunis autour d’une ami authentique, c’est l’être qui devient notre famille par le j’évoque l’amitié aujourd’hui, c’est parce que j’ai la chance de la connaître.***** Un ami, c’est quelqu’un qui sait tout de toi et qui t’aime quand même. »FW Hubbard.
Parolesde chanson Bernard Sauvat - L' Amitié L'amitié, c'est pour moi un paysage, Où tu viens effacer mes petits nuages, L'amitié, ce n'est pas un feu de bois, Ce n'est pas une tape 6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 1502 Un jeudi soir, dans les rues de Lyon, alors que je m’apprêtais à regagner mon domicile, je fus interpelé par un homme passablement éméché. J’étais de bonne humeur et, me sentant en mesure de déchiffrer les borborygmes éthyliques de ce quidam, j’écoutais sa question qui me prit un peu au dépourvu Quelle est ta raison de vivre? » Une réponse me vint spontanément Je vis pour ceux qui m'aiment, que j'aime, pour tenter de les rendre heureux à ma manière comme ils savent me rendre heureux de la leur. » L’homme esquissa alors un sourire et le temps de laisser échapper un c’est bien », il s’éloignait déjà en titubant vers une autre destination alcoolisée… L'amitié a toujours été mon bien le plus précieux. J’en ai appris l’importance en famille, dans une maison où les oncles et tantes d’adoption avaient remplacé ceux que la nature nous avait donnés. Mais un véritable ami, qu’est-ce au juste ? Est-ce quelqu’un qui se bougera le cul à toute heure pour vous ? Est-ce quelqu’un qui saura vous dire ce qu’il pourrait vous reprocher ? Est-ce quelqu’un qui pensera à votre bonheur avant tout acte pouvant vous porter préjudice ? Est-ce quelqu’un qui saura vous écouter, qui saura vous pardonner ? C’est un peu tout cela et sans doute bien plus… Mais ne sera pas une personne qui vous utilise comme béquille ou mouchoir pour ses sécrétions lacrymales quotidiennes et infondées. Ce ne sera pas non plus un individu qui vous fera de grandes embrassades en public, ou qui vous criera son amour 2 fois pas jour. L’amitié se ressent, elle ne se crie pas sur les toits. Elle s’entretient, non pas à coup de belles paroles, mais par les actes désintéressés. Soignée, chérie, elle est une source de bonheur et l'alliée de celui-ci. J’admets qu’à notre époque, l’amitié est une notion un brin galvaudée, comme peut l’être l’amour... Aristote, qui visiblement avait déjà tout compris du danger que représentent facebook et le monde de la night pour l’amitié réelle, l’avait classifié en 3 types -L'amitié en vue du plaisir Caractéristiques des gens qui vous entourent quand tout va bien potes de virée, de murge, d’orgie romaine et de toutes autres activités sympathiques… -L'amitié en vue de l'intérêt Les contacts professionnels, le relationnel... -L'amitié des hommes de bien L’amitié réelle, inconditionnelle entre deux personnes unies par un lien solide et pérenne. Il ne faut pas forcément fuir les 2 premiers types susnommés. Il convient par contre de ne pas leur donner plus d’importance qu’ils n’en méritent… Sinon, gare aux déceptions ! Au cours de nos vies, nos contacts se font et se défont au gré de notre évolution personnelle, professionnelle… Et bien qu’il ne soit pas régi par un processus volontaire, le choix de nos amis est crucial. Tout le problème de l’amitié repose sur des postulats simples. -Nos amis nous représentent, puisqu’ils sont sensés nous ressembler. Bien que chacun des membres d’un groupe puisse avoir ses propres spécificités, défauts et qualités, les valeurs communes d’une entité amicale ressortent aux yeux du badaud. Nous portons donc une étiquette, liée à nos fréquentations. On peut trouver cela anodin ou même s’en foutre, mais cet entourage nous ouvre des portes et nous en ferme d’autres, surtout sur le plan des rencontres. -Nos amis nous conditionnent, car leurs valeurs, leurs habitudes, leurs gouts jouent grandement sur les nôtres… Il existe des amitiés qui vous élèvent, si vous fréquentez des personnes ambitieuses, joviales, optimistes, travailleuses… A contrario, si vous êtes entouré de gens faux, superficiels, paresseux, agressifs, vous serez tirés vers le bas, immanquablement… Vous le savez peut-être mais l'amitié, comme un joint ou une pipe, ne se réclamme pas. A l'instar des relations amoureuse en effet, on n’obtient que ce que l’on mérite. Le seul moyen d’avoir des amis de qualités est donc d’être une personne de valeur et de savoir effectuer un tri. Vous est il déjà arrivé de réfléchir sur vos amis ou de vous demander lors de l’une de vos soirées ensemble, ce que vous foutiez là ? Il suffit juste de vous poser des questions relativement simples -Lesquels de ceux qui se disent vos amis » seraient à vos côtés en cas de peine de cœur, au cours d’un deuil ou pour un déménagement de dernière minute ? -Lesquels vous aident à devenir meilleur ? -Avez-vous encore suffisamment de liant, d’échanges avec eux ? Vous apportent-ils le bonheur ? Loin de moi l'envie de prôner une amitié utilitariste. Mais il est necessaire d'être lucide sur ses amitiés. Etre capable de séparer le bon grain de l’ivraie et fréquenter moins de personnes est peut être un solution pour éviter les boulets qui nous feront souffrir ou nous décevront… Notre raison de vivre doit rester le bonheur… et l’amitié en est un élément indissociable. Sans vraiment m’en rendre compte en discutant avec un homme plus saoul que moi ce soir d’été 2004, j’ai résumé une philosophie à laquelle je tâche de me tenir… parfois maladroitement, non sans quelques déceptions… mais avec l’envie sincère de partager les meilleurs instants de ma vie avec des personnes qui auront le même ressenti. A mes amis que j’aime ils se reconnaîtront Published by Mat - dans PenséesPlusque 365 jours les filles :-p-L'amitié c'est pour moi un paysage°*Où tu viens effacer mes petits nuages°*L'amitié ce n'est pas un feu de bois°*Ce n'est pas une tape dans le dos°*L'amitié c'est toi qui ne réclames pas°*Ce qu'un jour tu m'as donné-
Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Les couloirsPage 1 sur 1Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Elida CesteroSerdaigle Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Elida Cestero, le Mar 24 Mar - 1339 Saison 30 - PrintempsEn haut de la tour d'AstronomieAvec SoleyaLe temps est une chose difficile à prévoir, simple à imaginer mais l’imagination ne fait pas tout. Quand la lune se lèvera-t-elle et le soleil se couchera-t-il ? Les deux sont indépendants et pourtant si dépendants dans l’esprit. Un enfant s’imagine que les deux sont liés, que la nuit et le jour ne se mêlent jamais, il s’étonne ensuite de voir en plein jour un morceau de lune. C’est assez relatif ce rapport de nuit et jour, de soleil et lune. Car on dit aussi que la nuit est là quand le ciel est noir et les étoiles visibles. Mais quand sont réellement visibles les étoiles ? Peut-être n’a-t-on simplement pas les bons yeux pour voir nos étoiles de jour. Et qu’est-ce que ce moment où le ciel prend les couleurs de l’arc-en-ciel ? Le place-t-on dans le jour ou dans la nuit ? C’est un peu un entre-deux, mais entre deux quoi ? Qu’est-ce réellement la nuit et qu’est-ce réellement le jour ? Que sont la lune, le soleil et les étoiles ? L’espace et les planètes, l’infini et l’horizon ?Je crois que les gens trouvent ça bizarre de me voir encore une fois appuyée sur une fenêtre, le regard tantôt dehors tantôt sur mon carnet dans lequel ma main, armée d’un crayon, gribouille sans cesse. Aujourd’hui j’écris des mots en pagaille, je dessine des lettres reliées ou non. C’est brouillon pour les autres, clair pour moi, car mon carnet est mon esprit et un esprit ne se comprend que par le propriétaire, et encore même ça c’est compliqué parfois. Ces gens devraient prendre l’habitude, je suis souvent là après tout, mais pour les rares qui m’aperçoivent c’est une position étrange, une activité étrange, plus étrange encore que de dessiner ce que je vois dans mes yeux et mon le ciel est clair, limpide, découvert de tout nuages, la lune est discrète, simple croissant blanc sur lequel le Pierrot dort, vous le voyez ? Non évidemment, ne cherchez pas avec vos yeux mais avec votre esprit… Il a sa canne, il veut attraper les étoiles pourtant inaccessibles, si inaccessibles qu’il finit par fermer les yeux dans son attente en patience. Petit bonhomme blanc plongé dans un silence connu de beaucoup d’enfants. D’ici on le voit peut-être mal… Et si j’allais le voir de plus près ? Notre tour est déjà bien haute, mais il paraît que celle d’astronomie l’est encore plus. La plus haute de l’école, la plus proche des étoiles. De là-haut, on est si proche et pourtant si loin…Traverser la Salle Commune, carnet et crayon presque éternellement attachés dans mes mains, puis traverser l’école, et trouver la tour des étoiles. Je ne suis pas encore très à l’aise dans l’école, même si je connais bien des chemins il m’arrive encore d’hésiter. Et pourtant, mes pas viennent d’eux-mêmes, et heureusement d’ailleurs, j’ai ma tête déjà perdue dans le ciel, elle joue dans les étoiles et adresse un bonjour muet au petit bonhomme de la lune. Et je monte, petits pieds discrets sur le sol, il ne faut pas se faire gronder même si ce n’est pas l’heure du couvre-feu a-t-on le droit d’aller tout en haut ? Si c’est comme la Forêt Interdite, ça ne veut rien dire. Les droits et interdictions sont comme le soleil et la lune, la nuit et le jour, des choses mal définies. Alors je je m’installe, il fait un peu froid ici par les caprices printaniers qui laissent apparaître quelques fois le gel sur l’herbe du matin. C’est que la Tour d’Astronomie est faite pour observer les étoiles, alors il faut qu’on ait un bon accès au ciel ! Et le carnet se rouvre sur les genoux pliés, jambes croisées et moi assise directement sur le sol. Le crayon tourne pensivement dans la main, l’esprit hésite. Dessiner ou écrire ? Le regard levé vers le croissant où dort le bonhomme blanc, je souris soudainement. Il a ouvert les yeux ! Il se penche et cherche – me voit-il ? Je l’imagine remuer sa canne à pêche, appeler une étoile. Sa bouche s’ouvre, mais aucun son n’en sort, seul celui de la nuit à peine tombée s’élève. Soleya McLaughlinSerdaigle DC Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Soleya McLaughlin, le Lun 30 Mar - 1426 Comme un besoin de s’évader, d’observer le ciel dans le silence de la nuit. N’était-ce pas là l’activité favorite d’une passionnée d’Astronomie ? Se perdre dans les mystères de ce qui se trouvait juste au-dessus de nos têtes. Un paysage imposant qui n’avait pourtant pas l’attention qu’il méritait. Il était là, on le voyait, mais personne ne s’en souciait. Les étoiles brillent par milliers. Elles scintillaient les unes après les autres de manière aléatoire. La jeune femme ne peut s’empêcher de penser que d’autres personnes dans le pays, dans le monde les observaient aussi et en admiraient leur beauté. Si la nuit était pour beaucoup un synonyme d’angoisse, pour Soleya, c’était au contraire là qu’elle trouvait l’inspiration, les réflexions étaient intenses, le cerveau en ébullition. La lune l’observe et l’éclaire. Elle l’imagine être là, juste pour elle. Pourtant, tandis que la Brune arrive au niveau de la Tour d’Astronomie, c’est une autre silhouette qui l’attire dans un premier temps. Une jeune, très jeune fille qui semblait se perdre elle aussi dans la contemplation. Qu’est-ce qui lui venait en tête à cet instant ? Serait-ce l’image simple d’un croissant de lune dessinée sur un fond sombre dégradé ? Ou avait-elle l’imagination nécessaire pour voir bien plus loin que ça. À cet âge, la créativité pouvait parfois dépasser celle des plus grands, puisque les adolescents avaient tendance à ne pas regarder les choses, ils les voyaient, mais ne prenaient pas le temps d’en observer le fond. Soleya n’ose pas la déranger pour le moment, elle se contente de fermer les yeux afin de profiter pleinement de ce calme, de la vue sur un parc désert. Juste l'histoire de quelques petites après une légère inspiration que la jeune femme lui fait part de sa présence. Un souffle léger, un soupire. Ça t’inspire ? Pas de questions sur sa présence ici à cette heure-là. Elle n'était pas le genre de personnes à gâcher le plaisir des autres par des propos qui sonnaient faux dans les oreilles. Vous savez, comme une mélodie dont les fausses notes sont fines et pourtant bien présentes. Elle ne veut pas la tirer de ses rêveries, ni de pourquoi elle semble si attirée par la lune. Seulement partager. Qu’il y a-t-il à cet instant dans la tête d’une enfant ? Je suis Soleya, je ne crois pas que l’on se soit présentée toutes les deux. Et pourtant, elle la savait de sa maison, l’ayant déjà croisée dans la salle commune. Elida CesteroSerdaigle Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Elida Cestero, le Sam 4 Avr - 1005 Un fin croissant blanc, c’est ce qu’est la lune aujourd’hui. Parfois elle est ronde, belle, lumineuse, parfois on ne la voit pas. C’est de l’astronomie ça, j’ai déjà lu comment ça fonctionne dans un livre. La nature le fait seule, comme une grande. Sauf que c’est très scientifique, rien de très magique ni imaginaire. Même si pour avoir découvert tant de secrets de l’univers, il faut déjà avoir une sacré imagination pour trouver comment faire. Mais moi, aujourd’hui, je préfère rêver. Pas lire un livre sur la "vérité" ni me rappeler les mots écrits, juste imaginer ce petit bonhomme blanc qui rêve aussi sur son croissant de lune. Le petit Pierrot a dormi, maintenant il est en forme, prêt à jouer. Pas avec les humains, notre sort lui est certainement égal puisque lui a cette chance de vivre loin de tout, loin du bruit et des méchancetés. Beaucoup ne le voient pas, ils se voient entre eux, personnes égoïstes trop occupées pour rêver. Mais l’habitant de la lune ne nous voit pas non plus, il est bien entouré là-haut entre étoiles et planètes. Un ciel a largement de quoi s’amuser et soupir et une voix me font tourner la tête, laissant le bel ami jouer tranquillement je pose mon regard sur la personne présente. Une fille, plus vieille que moi. Une Serdaigle a l’air intéressé par sa question. Il n’y a pas de suite les mots polis qu’on échange lors d’une rencontre inattendue. Pas de paroles inutiles qui demandent ce qu’on fait là ou si tout va bien. Juste une question curieuse et intéressée. Alors je lui souris, je lui réponds Oui» timide tout en l’observant un peu plus. Elle n’a pas l’air méchante, elle ne semble pas avoir cette lueur qui prévient qu’elle est prête à se moquer. Ça me rappelle cette fille une fois, une plus grande aussi avec qui j’ai dessiné une fois. Un échange de connaissances, d’idées, de goût, de rêves et de réalité. Cette inconnue a-t-elle envie de faire ça, elle aussi ? Je crois que ça ne me dérangerait pas. Mais pour ça, je lui propose d’abord Assis-toi si tu veux.», qu’elle se mette à la bonne hauteur puisqu'elle a l'air intéressée. Si elle reste debout, elle risquerait de ne pas bien voir. Il y a Pierrot aujourd’hui.» Je souris à nouveau, contente. J’aime bien le petit bonhomme lunaire. Calme, silencieux, muet. Et pourtant si rêveur ! Je ne sais pas si elle le verra, si elle voit. Parfois, les grands manquent d’imagination. Mais si elle est là, c’est bien parce qu’elle aime le ciel, non ? La tour d’astronomie est aussi haute pour qu’on puisse bien voir les étoiles, et même certaines planètes avec un peu de la grande se présente, elle s’appelle Soleya. Son prénom me rappelle le soleil, sol soleya, c’est joli. Je fais un petit non de la tête lorsqu’elle dit qu’on ne s’est jamais présenté. Je ne me présente pas comme ça aux gens, même aux autres Serdaigles comme elle, il ne faut pas aller trop loin non plus. Je me présente si c’est nécessaire et si on me le demande, et comme elle s’est présentée je le fais aussi. Retour de politesse. Moi, c’est Elida.» Elida, Soleya, ça finit pareil. Comme Elhëna. Tous ces prénoms qui se ressemblent sans se ressembler ! Est-ce qu’il a un lien avec le soleil ton prénom ?» Par pure curiosité, je lui pose cette question. Parce que ça me rappelle l’espagnol – cette langue de l’enfance. Je n’ai jamais posé cette question au bonhomme blanc. Pourtant, Pierrot est un drôle de prénom. Mais ça ne servirait à rien de lui demander. Il ne m’entendrait pas je crois, alors je ne l’entendrais pas non plus. Et puis, c’est pas gentil de déranger une personne qui s’amuse… Soleya McLaughlinSerdaigle DC Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Soleya McLaughlin, le Jeu 23 Avr - 1606 Un sourire angélique et une douce voix lui répond, un rayon de soleil qui contrastait avec l’obscurité de cette sombre soirée. Timide, rêveuse, pleine d’imagination, cette petite lui rappelait elle-même au même âge, à son arrivée à Poudlard. Les yeux émerveillés, remplis d’étincelles, pétillants à la vue de la lumière du château. Un endroit digne d’un rêve, un lieu où chaque enfant, même moldu, rêverait de se rendre. C’était fou comme les rêves de ceux dépourvus de pouvoirs magiques pouvaient s’avérer vrais ici. Les sorciers, principalement les enfants, vivaient la vie rêvée d’un jeune moldu désireux de voir ses contes de fées devenir une réalité. Les sorciers rêveurs allaient beaucoup plus loin que cela. Là était la véritable magie. Spirituelle, qui sortait de chacun d’ en lui rendant son sourire que la jeune femme s’installe auprès d’elle qui lui parle de Pierrot. Un personnage très ancien, très probablement oublié par la plupart des personnes de notre siècle, adultes comme enfants. La commedia dell’arte, théâtre italien, époque où Pierrot a vu le jour, datait d’il y a des siècles et des siècles aujourd’hui. Pourtant, son prénom sortait encore de la bouche de certaines personnes, les plus rêveurs comme lui, tout comme les plus tristes, peut-être. Puisque ça restait là, l’image renvoyée par ce personnage noir et blanc. Soleya suit alors son regard, plisse les yeux pour ne louper aucun détail. C’est fou comme on pouvait en voir des choses si on s’en donnait les moyens. Son regard jeune renvoyait des images créatives, elle semblait avoir l’âme d’une artiste. Un talent à ne surtout pas négliger. Tu as un joli prénom. Elle sourit avant de continuer, à vrai dire, la douce voix berce le vent, c’est la raison pour laquelle on m’a attribué ce prénom, pour la consonance qui rappelle le soleil. C’est toujours ce que ma mère disait. La Bleue se perd dans l’obscurité naissante. Pour couronner le tout, mon deuxième prénom, Luaine, signifie la lune. À croire que ce choix de prénoms a décidé lui-même que je me passionnerais plus tard pour l’astrologie. Cela avait été un joli yeux se perdent de nouveau sur la lumière lunaire, les étoiles scintillent à ses côtés. Tu devrais dessiner ce que tu vois, si tu ne le fais pas habituellement. Soleya n’avait pas cette capacité à pouvoir mettre son imagination sur papier. Alors, elle faisait toujours en sorte d’encourager ceux qui avaient la possibilité de retranscrire leurs pensées. Elida CesteroSerdaigle Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Elida Cestero, le Ven 24 Avr - 1822 Il y a quelques moments où la présence d’Autres ne me dérange pas tant que ça, car ce sont ces moments où l’on sait me parler sans effacer toutes mes pensées, en leur laissant au contraire une place importante comme maintenant dans la question de la grande lorsqu’elle est arrivée. Elle s’est interrogé sur cette nuit dégagée dont mes yeux se régalent pour remplir l’esprit de petites histoires, de petits rêves nocturnes et lunaires. C’est peut-être pour ça qu’au lieu de me contenter d’un regard curieux comme souvent, qu’au lieu de l’ignorer ou de rester méfiante au point de ne pas répondre, je lui fais un sourire, je lui réponds et même lui propose de s’installer. Bonne ou mauvaise idée ? On verra. J’ai envie qu’elle aussi arrive à voir le Pierrot dont je lui parle alors qu’elle s’assoit à son tour, souriante elle aussi, j’ai envie qu’en tant que grande elle essaie de le voir, pour savoir si en grandissant je ne perdrais pas cette imagination car pour l’instant tous ces grands que j’ai entendu et écouté n’ont jamais eu l’air de beaucoup rêvasser. Je n’ai pas envie de perdre ce goût pour les couleurs, les plantes, les animaux, les étoiles et le ciel. Non, je ne veux rien perdre de tout ça. Il doit certainement être possible d’aimer tout ça tout en étant plus grand…Alors je me présente moi aussi puisqu’elle le fait, elle qui a un si joli prénom qui commence comme le soleil espagnol. Elle trouve que mon prénom aussi est joli et elle sourit encore, un joli sourire avant d’expliquer son prénom comme je le lui demande. Elle parle de sa maman qui lui expliquait pourquoi elle s’appelle ainsi, elle confirme à peu près ce que je pensais Soleya est en lien avec soleil. La boule jaune qui brille et réchauffe depuis le ciel, celle autour de laquelle nous tournons et dont nous avons plutôt l’impression que c’est elle qui tourne. On dit souvent d’une personne joyeuse et souriante qu’elle est un rayon de soleil… La Serdaigle fait-elle partie de ces gens-là ? La voix douce et agréable, le sourire presque présent tout le temps depuis son arrivée, ce sont ces caractéristiques-là qu’ont les rayons de soleil vivants si j’en crois mes livres. La grande poursuit, après le soleil vient la lune car elle a un deuxième prénom qui est lié à la lune. Émerveillée par cet ensemble de prénoms auparavant inconnus et pourtant si beaux, je fais à la jeune fille un grand sourire un peu rêveur alors qu’elle ajoute que ces deux prénoms qui sont comme les deux astres importants autour de la Terre ont peut-être aidé à la passionner ainsi d’Astrologie. On a vu en cours d’Astronomie ce qu’était l’Astrologie, je l’ai lu aussi dans des livres. Une sorte de science qui lie le futur avec les astres. Selon la place des planètes dans le ciel à notre naissance, même qu’on a dessiné une carte du ciel en cours. D’ailleurs, il faudra que je pense à amener ma copie au professeur. Ils sont vraiment très beaux tes deux prénoms !» Moi, je ne sais pas pourquoi je m’appelle Elida, je n’ai jamais posé la question à mes retourne à la lune, le regard concentré veut continuer de voir le petit bonhomme lunaire. Je l’imagine bien réussir à attraper une étoile, il en serait si heureux ! Je ne sais pas trop pourquoi il en veut une, peut-être souhaite-t-il pouvoir les observer d’encore plus près ? C’est vrai que c’est mystérieux, toutes ces petites formes blanches et lumineuses dans le ciel… Mais leur place est là-haut, il ne faut pas les y enlever. Elles sont de toute façon trop inaccessibles pour que Pierrot réussir à les cueillir… Peut-être qu’avec un peu d’imagination, il pourrait créer lui-même son étoile ? Une étoile rien qu’à lui qu’il arriverait forcément à attraper. J’aime bien mon idée ! Soleya à côté de moi vient me conseiller de dessiner ce que je vois, et je repose sur elle mon regard pour lui faire un nouveau sourire. Elle n’est pas comme cet autre grand Serdaigle qui ne semblait pas aimer mes dessins… Elle m’y encourage. Oh oui, je dessine toujours ce que je vois !» C’est vrai que pour l’instant, la page est vide, blanche. C’est qu’il faut parfois prendre le temps d’imaginer correctement. Mais parfois, notre réalité n’est pas la même que celle des autres.» Car certains voient dans le ciel de simples nuages ou juste des trucs qui brillent tandis que moi j’y vois de multiples alors mon crayon, je décide de lui montrer. Je commence par faire la lune, petit croissant fin qui brille dans le noir. Je veille à ce qu’elle soit assez grande mais pas trop non plus, il faut qu’on voit autour. Et petit à petit, les traits du Pierrot s’affichent, je n’ai pas besoin de regarder le ciel pour le dessiner. Une petite tête couverte d’un bonnet, une collerette avec des ombres précises pour rendre l’image réaliste, un corps assez fin puisqu’il doit tenir sur la lune. Et dans une main, il tient sa canne, simple bâton blanc au bout du quel est tendu un fil dans le vide. Je m'applique, je prends le temps de bien faire les formes et d'appuyer les ombres pour qu'on ait l'impression qu'il soit réellement présent. Regarde» Je montre la page à ma voisine en souriant timidement. Je veux lui montrer Pierrot, qu’elle le voit elle aussi. J’aimerais ajouter les étoiles, mais pour ça il me faudrait beaucoup de temps car c’est une image imaginative dans un monde réel, les étoiles ne doivent pas être n’importe où, elles ne le peuvent pas, pas pour moi. Soleya McLaughlinSerdaigle DC Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Soleya McLaughlin, le Sam 9 Mai - 1121 Le sourire qui se dessine sur les lèvres de la jeune femme est un mélange de reconnaissance, de remerciements et d’un sentiment de légèreté face à la douceur dont faisait preuve la petite sorcière. Il se dégageait quelque chose de positif, un débordement d’étoiles invisibles symbolisant une candeur et un optimisme qui sonnait comme une douce mélodie à mes oreilles. Elle était de celles avec qui il était bon de discuter. Peu importait l’âge et la maison tant qu’il y avait la connexion et la fluidité de la conversation. Et tout pouvait débuter par des prénoms complimentés, un intérêt commun pour le croissant de lune. Ma bouche en dessinait un – croissant de lune. La nuit était douce et je me hâtais de voir la page blanche se noircir de tout ce qui se trouvait dans la tête de cette Demoiselle. Elle avait la réflexion d’une adulte et cela me fait sourire. L’imaginant plus vieille, déjà une artiste accomplie. C’est là toute l’importance de l’art, que je dis en contemplant ce qu’elle me montrait, découvrir la réalité des autres, se mettre à leur place, c’est un bon moyen de les comprendre. Peut-être le ne peux m’empêcher d’esquisser un sourire. En réalité, j’en ai presque les larmes qui me montent aux yeux. De toutes les personnes que j’avais rencontrées jusqu’à maintenant, elle était la seule à voir le monde avec autant de magie, à en imaginer chacun de ses secrets, de ses faces cachées. Cela demandait une grande capacité de contemplation que, clairement, elle possédait en elle. C’était inné. C’est magnifique, dans un souffle tandis que mon regard alterne entre le dessin et la lune. Il fallait sans doute encore le fignoler, ajouter les détails qui pourraient échapper aux autres, m’échapper à moi, mais qu’elle, elle avait sans doute déjà vus, reconnus, observés. Elle pouvait pousser le vice un peu plus loin, qu’en était-il du personnage italien s’il se trouvait dans un autre environnement que le sien ? Mes yeux se détournent alors du dessin. Pierrot apparaît sous plusieurs visages selon les personnes. Comment le vois-tu toi ? Pas physiquement, mais bien son symbole, ce qu’il signifiait pour elle, ce qu’il dégageait et pourquoi il semblait si important pour elle pour qu’elle en vienne à le mettre en image sur une feuille blanche ? Tu t’es déjà imaginée ce que cela donnerait au soleil ? Un simple questionnement. Quelle vision aurait-elle si tout cela se déroulait en plein jour ? Le soleil, le ciel bleu et une lune et des étoiles qui se feraient timides, cachées. Elida CesteroSerdaigle Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Elida Cestero, le Sam 9 Mai - 1903 Elle parle bien, la grande Serdaigles aux beaux prénoms. Elle connaît, elle comprend l’importance de l’Art. Je l’écoute en approuvant d’un hochement de tête. Même si c’est plus complexe que cela, parfois dessiner ne me suffit pas à comprendre les autres. Peut-être que si les autres dessinaient, je pourrais comprendre ? En attendant, moi je dessine sans me cacher, je laisse voir à ceux qui veulent. Au début, je dessinais pour ma famille, pour leur parler sans utiliser de mots. Maintenant, je dessine tout le temps. Je trace sur le papier ma réalité, ma vision, ma compréhension. Sauf que ça ne plaît pas à tout le monde malheureusement, il y en a qui trouve ça idiot, bête, qui ne comprennent pas et qui se moquent car au final ils n’ont que ça à faire, incapables de faire de même ou du moins d’essayer. Mais ça m’est égal c’est ma manière à moi de calmer un esprit trop plein et tant que j’aurais du papier et des crayons, je les utiliserais. Et il n’est pas prévu que je manque de matériel. Alors je suis d’accord avec Soleya, au final tout le monde se comprendrait si tout le monde s’exprimait de la même la laisse observer le dessin, le petit Pierrot posé sagement sur son croissant de Lune avec sa canne à pêche à la main. Et moi, je l’observe elle. Le Soleil dans la Lune, la Lune dans le Soleil, les deux côtes à côtes. Deux astres opposés qui représentent la nuit et le jour sont pourtant regroupés en une seule personne – impressionnant, étonnant, agréable. La jeune fille sourit, j’ai la sensation qu’elle est réellement sincère. Il n’y a pas de mensonges, elle ne se force pas. Tout n’est que vérité dans ce compliment tandis que son regard va et vient entre la Lune et la page. Peut-être arrive-t-elle ainsi à voir mon ami lunaire pêcheur d’étoiles ? Ça me ferait très plaisir, car elle a l’air capable de comprendre, en tout cas c’est l’impression que j’ai. Je crois aussi qu’elle connaît Pierrot, sinon elle n’en parlerait pas. Un Pierrot aux multiples visages, un Pierrot aux différentes significations selon les gens, les humeurs, les moments. Comment est-ce que je le vois, moi ? C’est ce que la jeune fille me demande, curieuse apparemment. Comme un enfant qui joue, un rêveur qui voudrait attraper les étoiles. Il est patient, et surtout calme. C’est agréable…» Il est comme moi, ce bonhomme lunaire tel que je le voit. Il pourrait presque être un ami si je savais ce que c’était. Et toi, tu le vois maintenant ? Tu le vois comment ? Ou tu l’imagines comment ?» Oui, même s’il s’avère invisible à ses yeux elle a mon dessin et peut s’en servir pour comprendre le petit personnage. Je suis curieuse de connaître son esprit en ce nouvelle question se fait entendre, Soleya est du genre bavarde je crois. Ou alors curieuse, au choix. Peut-être les deux. Elle a de la chance, ce soir je veux bien, et puis ça m’intéresse ce qu’elle me demande. Ai-je déjà imaginé ce que donnerait ce spectacle au Soleil ? Non. Je pourrais répondre ça. Mais je peux aussi l’imaginer maintenant. Créer la scène dans ma tête pour lui répondre que non tout en le faisant en même temps. Que donnerait ce ciel au Soleil ? Je ne me suis jamais demandé ça. En tout cas, ça dépendrait de la date. Parfois, la Lune et le Soleil sont à l’exact opposé l’une de l’autre, la Terre entre elles. Parfois, elle se suivent. Parfois, on voit la Lune alors que le Soleil est encore là. Je crois que le Pierrot n’aime pas le Soleil. Sinon, pourquoi vivrait-il sur la Lune ? En même temps, c’est un peu chaud le Soleil. Mais Pierrot, c’est un bonhomme de la nuit je pense. Il est fait pour voir le noir et les étoiles. Sauf que le jour, les étoiles sont cachées par la lumière du jour, on ne les voit pas.» J’inspire un peu d’air, peu habituée à autant parler, avant de remarquer Je ne sais pas comment c’est là-haut. Ça doit être beau, non ? Voir le ciel d’ici n’est pas la même chose qu’y être.» Et je tends la main, comme pour toucher le ciel. J’aimerais être une étoile…» La voix n’est plus qu’un murmure. Comment Pierrot voit-il le Soleil ? L’aime-t-il ou non ? C’est curieux. Intrigant. Intéressant. Re Un petit bonhomme blanc et deux petits bonhommes bleus - [Abandonné]Contenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum iUXsJ5w. 337 163 117 374 34 374 348 385 354